Musique : Eastwood Symphonic, meilleur album vinyle de la semaine !
Quatre ans après Cinematic, qui rendait hommage aux compositions marquantes de l’histoire du cinéma, Kyle Eastwood revient avec un album qui revisite les musiques de films de son père, Clint Eastwood, accompagnées d’un orchestre symphonique. Le résultat est un album ambitieux et original, qui entremêle habilement jazz et musique symphonique. Musique : Eastwood Symphonic de Kyle Eastwood, c’est notre meilleur album vinyle de la semaine !
Une histoire de filiation
Kyle Eastwood a deux passions : le jazz et le cinéma. Ainsi, il a eu la chance d’être exposé aux deux dès son plus jeune âge, grâce à son père. Cependant, le déclic se produit en 1977 au festival de Jazz de Monterey en Californie, lors d’un concert de Count Basie. Dès lors, sa décision est prise, il sera bassiste.
Avec Eastwood Symphonic, Kyle Eastwood rend hommage à ses deux passions, tout en s’interrogeant sur la nature de cette filiation particulière, qui a fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Ainsi, l’album est un mélange réussi de jazz et de musique symphonique. En effet, il y a là le quintette habituel de Kyle Eastwood, avec Quentin Collins à la Trompette, Brandon Allen aux saxophones, Andrew McCormack au piano et Chris Higginbottom à la batterie. Plus l’Orchestre National de République Tchèque, sous la direction de Gast Waltzing.
Aussi, bien au-delà d’un simple hommage à son père, Eastwood Symphonic est également un clin d’œil aux immenses compositeurs qui ont collaboré avec Clint Eastwood. Ainsi, on retrouve les compositions d’Ennio Morricone, Lalo Schifrin, John Williams ou Lennie Niehaus. Une réussite !
Le vinyle, une culture
Si vous n’avez pas encore succombé au retour du vinyle, qui n’a par ailleurs jamais disparu, il est temps de vous y mettre.
Bien plus qu’un simple objet, il séduit de plus en plus, néophytes et passionnées, par la qualité de ses pochettes, sa fidélité sonore et la richesse du son.
De plus, il permet de se réapproprier l’instant et de prendre le temps.
Tout commence par ce petit rituel, où l’on choisit son disque, puis on extrait la galette de sa pochette et de son étui en plastique. Il faut ensuite la poser sur la platine, positionner soigneusement l’aiguille, savoir apprécier son crépitement si caractéristique, s’assoir et écouter, en parcourant la jaquette.
Bien choisir sa platine
Support privilégié pour apprécier cette qualité de son si particulière, le disque vinyle nécessite de s’équiper en conséquence.
J’ai choisi pour vous avec le souci du meilleur rapport qualité prix, le système stéréo complet ULTIMA 40 KOMBO VINYL 250 de Teufel.

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Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne écoute.
Hakim Aoudia.
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