Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra !
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Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra !

Hakim Aoudia - Publié le

Temps de lecture : 3 minutes

Il y a 50 ans sortait Between Nothingness & Eternity, troisième album du Mahavishnu Orchestra. L’occasion de retrouver l’un des plus grands groupes de jazz-rock du XXe siècle, fondé au début des années 1970 par le guitariste de jazz John McLaughlin. Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra : 50 ans déjà, en vinyle de préférence !

Un album chasse l’autre…

À l’origine, le troisième disque du Mahavishnu Orchestra devait être un album studio. Cependant et pour de probables questions d’égo, le projet est abandonné. Il y a bien eu des sessions d’enregistrement au studio Trident de Londres, en juin 1973. Mais le cœur n’y est pas et ces dernières sont finalement publiées en 1999 sous le titre « The Lost Trident Sessions« .

Pour compenser, le groupe publie, en lieu et place, un concert enregistré lors du Schaefer Music Festival, au Central Park de New York, le 18 août 1973.

Trilogy : Mahavishnu Orchestra. (Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra !).

Un hubris démesuré

Avec John McLaughlin à la guitare, Rick Laird à la basse, Billy Cobham à la batterie, Jerry Goodman au violon et Jan Hammer aux claviers, le Mahavishnu Orchestra est en très grande forme, même s’il pêche souvent par orgueil et fait montre d’un hubris démesuré. En effet, avec les 21 minutes et 26 secondes de « Dream » et l’insolent étalage de la virtuosité et des qualités techniques de chacun, il m’est arrivé, à certain moment, de ressentir une sorte de lassitude.

Cet album reste néanmoins un excellent cru, témoignage de l’un des meilleurs groupes de jazz-rock du XXe siècle.

Dream : Mahavishnu Orchestra. (Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra !).

Le vinyle, une culture

Si vous n’avez pas encore succombé au retour du vinyle, qui n’a par ailleurs jamais disparu, il est temps de vous y mettre.

Bien plus qu’un simple objet, il séduit de plus en plus, néophytes et passionnées, par la qualité de ses pochettes, sa fidélité sonore et la richesse du son.

De plus, il permet de se réapproprier l’instant et de prendre le temps.

Tout commence par ce petit rituel, où l’on choisit son disque, puis on extrait la galette de sa pochette et de son étui en plastique. Il faut ensuite la poser sur la platine, positionner soigneusement l’aiguille, savoir apprécier son crépitement si caractéristique, s’assoir et écouter, en parcourant la jaquette.

Bien choisir sa platine

Support privilégié pour apprécier cette qualité de son si particulière, le disque vinyle nécessite de s’équiper en conséquence.

J’ai choisi pour vous avec le souci du meilleur rapport qualité prix, le système stéréo complet ULTIMA 40 KOMBO VINYL 250 de Teufel.

ULTIMA 40 KOMBO VINYL 250 de Teufel. (Jazz-rock : Between Nothingness & Eternity du Mahavishnu Orchestra !).

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Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne écoute.

Hakim Aoudia.

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