Musique : Lifted de Trombone Shorty, meilleur album vinyle de la semaine !

Trombone Shorty, virtuose du trombone, revient avec un nouvel album, Lifted. Un disque qui célèbre le bouillonnement créatif de la Nouvelle-Orléans. Tout en y injectant une touche de modernité, dans un tourbillon groove de sonorités jazz, rock, funk, R&B et pop. Musique : Lifted de Trombone Shorty c’est notre meilleur album de la semaine. En vinyle de préférence !

Un talent précoce

Troy Andrews, dit Trombone Shorty, naît le 2 janvier 1986 à La Nouvelle-Orléans. Issu d’une famille de musiciens, il commence à jouer du trombone dès l’âge de 6 ans dans les fanfares. Ainsi, il fait dès 2005 partie de la section cuivre du groupe de Lenny Kravitz. Et voilà comment il acquiert très rapidement une renommée internationale en tant que virtuose de son instrument. Depuis, il a collaboré avec Jeff Beck, les Red Hot Chili Peppers, Pharrell Williams, Bruno Mars et Mark Ronson. Mais également les Foo Fighters, Ringo Starr et le mythique groupe funk The Meters.

Sa musique est un mélange unique de jazz, de funk, de rock et de hip-hop. Il est également un fervent défenseur de la musique de la Nouvelle-Orléans, qu’il souhaite faire connaître au monde entier.

Un album éclectique

Accompagné du producteur Chris Seefried et de collaborateurs tels que le New Breed Brass Band, Gary Clark Jr., Lauren Daigle, et la section rythmique du marching band de son lycée, il a cherché à saisir l’essence d’un concert en direct.

Il y a là 12 titres qui explorent un large éventail de styles musicaux. L’album s’ouvre sur le titre éponyme, « Lifted », une chanson festive et entraînante qui rend hommage à sa ville de La Nouvelle-Orléans. Parmi les autres titres notables, on peut citer « Crazy », un duo avec Lauren Daigle, « Golden Lady », une ballade romantique, et « Get Lifted », une chanson de funk électrique. Ainsi, malgré quelques touches pop, le jeu virtuose et le groove de Trombone Shorty demeurent puissants.

Ajoutons que l’album est dédié à sa maman récemment décédée : « Je dois tout ça à ma mère. Elle est morte récemment mais elle n’a cessé de m’inspirer jusqu’à ce qu’elle passe de l’autre côté, et c’est pourquoi j’ai mis une photo d’elle qui me porte pendant une parade sur la pochette de cet album. Elle m’a porté toute ma vie. »

Le vinyle, une culture

Si vous n’avez pas encore succombé au retour du vinyle, qui n’a par ailleurs jamais disparu, il est temps de vous y mettre.

Bien plus qu’un simple objet, il séduit de plus en plus, néophytes et passionnées, par la qualité de ses pochettes, sa fidélité sonore et la richesse du son.

De plus, il permet de se réapproprier l’instant et de prendre le temps.

Tout commence par ce petit rituel, où l’on choisit son disque, puis on extrait la galette de sa pochette et de son étui en plastique. Il faut ensuite la poser sur la platine, positionner soigneusement l’aiguille, savoir apprécier son crépitement si caractéristique, s’assoir et écouter, en parcourant la jaquette.

Bien choisir sa platine

Support privilégié pour apprécier cette qualité de son si particulière, le disque vinyle nécessite de s’équiper en conséquence.

J’ai choisi pour vous avec le souci du meilleur rapport qualité prix, le système stéréo complet ULTIMA 40 KOMBO VINYL 250 de Teufel.

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Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une bonne écoute.

Hakim Aoudia.